L’extraordinaire progrès et les technologies innovantes des nouveaux moyens de communication digitaux et internet, la haute résolution ne sont qu’à leur début dans notre ère moderne.
En effet, ce n’est que la partie visible de l’iceberg, la partie immergée est encore en phase de recherche et de développement.
Le monde du tout petit, invisible à notre œil humain comme la nanotechnologie, les nanomédecines et la nanobiotechnologie en fait partie.
Le nanomonde est déjà là et bien là, est-ce la prochaine révolution industrielle ? C’est très possible !
Secteur à très forte croissance, l’étude et la mise en application de nouveaux produits les nanotechnologiques et les nanosciences reçoivent chaque année d’importants budgets pour avancer dans leur développement.
En effet, cette technologie englobe différents domaines scientifiques de recherche comme la mécanique, l’électronique la chimie, la biologie et l’optique.
Que définit exactement la nanotechnologie ?
Le monde nano est un monde invisible et bien présent et c’est tout le paradoxe de cette technologie.
Parfois hors de toute logique compréhensible par l’homme, la nanotechnologique déclenche une révolution dans la science des matériaux.
Dans tous les domaines chimiques, biologiques ou physiques, elle travaille à créer des matériaux plus résistants et une meilleure qualité de vie.
Petite mais aux grandes capacités, cette technologie du millième s’attaque sans vergogne aux concepts les plus traditionnels pour les transformer totalement.
La nanotechnologie ou son terme synonyme » nanoscience » définit l’ensemble des technologies et sciences s’intéressant aux matériaux qui ont pour échelle le nanomètre, soit le milliardième du mètre.
Les dimensions comprises entre 1 et cent nanomètres ou nm, ne sont pas visibles à l’œil nu.
Cette technologie nano travaille sur des nanomatériaux comme l’exemple du virus qui mesure 10 à 10 nm.
Les recherches en nanotechnologie englobent l’étude, la fabrication et la manipulation de structures, de dispositifs et de systèmes matériels à l’échelle de moins d’une quarantaine de nanomètres.
La nanoscience fabrique intentionnellement des nanomatériaux à des fins de recherche et de production.
Cette science a recours à un matériel de pointe comme les microscopes électroniques spécialement dédiés à leurs applications.
Etude, fabrication et applications au millième
Les nanotechnologies et la fabrication de nanoparticules s’appliquent à des matières variées lorsqu’elles sont de taille nanométrique.
Cette nouvelle science au nanomètre présente un grand intérêt dans la fabrication de matériaux plus solides et des pièces plus légères.
Fabrication des nanoparticules : les nanoparticules naturelles soit non fabriqués comme les virus par exemple, des sous-produits des processus de production, les nanoparticules fabriquées ou artificielles par autoassemblage, réduction des particules, construction atome par atome.
Quelques applications de la nanotechnologie
Pour changer le gout des aliments, utiliser des matériaux de construction autoréparants, fabrication de microprocesseurs à l’échelle du millième de millimètre, reconstitution des tissus… La nanotechnologie ne fabrique par uniquement des applications à partir de l’atome !
- Dans le domaine aéronautique : en vue defaciliter le déplacement dans les airs.
- Dans le domaine biologique et médical : en nanobiologie et nanomédecine pour lutter contre les cancers en fabricants des tissus accélérant le processus de guérison cellulaire, amélioration de l’imagerie médicale.
- Dans l’agriculture : amélioration de la production agricole et le filtrage des eaux.
- Dans l’entretien des surfaces : entretien des écrans et des lunettes, visières de casques, entretien des véhicules et toutes surfaces aéronautiques.
- Fabrication de matériaux autoréparants et tissus autonettoyants (nanofibres).
Ce chiffon fait de nanofibres est fabriqué avec la nanotechnologie et infusé de poudre métallique et d’huile minérale.
Véritable efficacité sur toutes sortes de surfaces de différents matériaux pour une élimination exceptionnelle des rayures.
